Le besoin croissant d'une gestion compatible avec les critères ESG (Environnementale, Social et Gouvernance) a eu pour conséquence d'intensifier l'engagement du monde des affaires en faveur de la protection des droits de l'homme. De plus en plus d'entreprises cherchent à développer leurs activités selon les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme et aux 17 Objectifs de développement durable (ODD) de l'Agenda 2030 des Nations Unies.
S'assurer que l'activité de l’entreprise adopte les meilleures pratiques, en contribuant de manière proactive au respect des droits de l'homme tout au long de la chaîne de valeur, est aujourd’hui un facteur déterminant pour la compétitivité (relations avec les investisseurs, accès au financement, gestion de la marque, minimisation du risque de réputation, entre autres). En outre, il semble que le devoir de diligence dans ce domaine (diligence raisonnable) sera bientôt imposé à toutes les entreprises opérant sur le marché européen, par le biais d'une législation exigeante que la Commission européenne est en train de préparer et qui imposera une gestion rigoureuse des risques, étant donné l'énorme responsabilité (civile et en matière de sanctions) qui incombera au monde des affaires.
La pratique de Business and Human Rights de VdA soutient les entreprises dans les différents aspects de ce défi, en contribuant au développement et à la mise en œuvre des politiques et des stratégies nécessaires à l’intégration des préoccupations de durabilité sociale dans leurs activités et leurs opérations.