Francisco Cabral Matos (collaborateur coordinateur) est cité dans un article du journal Expresso sur la taxe unique de circulation (IUC) et sur la taxe sur les véhicules importés d'autres pays de l'Espace économique européen.

« Apparemment, il n'y a pas d'initiative de remboursement "officieuse", la correction de l'IUC excédentaire ne se fera donc que lorsqu'une demande de révision officieuse soit faite, et couvrira au maximum les quatre dernières années d'impôt payé ». « Il est nécessaire de prouver l'immatriculation antérieure dans un autre État membre et qu'il s'agit d'un véhicule d'occasion « importé » au Portugal. Cette preuve est apportée au moyen du document délivré par les autorités compétentes de l'autre État membre. S'il s'agit de la Déclaration douanière des véhicules (DDV), qui est le document identifié dans les instructions internes de l'AT, le processus devrait être agile.
Dans le cas contraire, le contribuable devra demander d'autres documents appropriés aux autorités compétentes de l'autre État membre et il appartiendra à l'AT d'évaluer s'il elle accepte ou pas ».

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