Olivier Bustin (Managing International Adviser) écrit un article qui questionne l'utilité du droit de la vente commerciale dans le cadre de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA).

« La question centrale repose sur le constat que le régime de la vente commerciale dans le cadre de l'OHADA est présenté comme un complément volontaire, sans qu'aucune de ses dispositions ne soit explicitement définie comme d'ordre public.
Cette réalité conduit les parties à opter pour un droit étranger dans la relation contractuelle, même si elle s'applique dans l'espace OHADA. En outre, la soumission du contrat à un droit étranger remet en cause la compétence de la CCJA pour évaluer des litiges relatifs à son élaboration, son interprétation et son exécution.
Une réforme du droit de la vente commerciale au sein l'OHADA est donc souhaitable, en particulier pour sanctionner les déséquilibres importants qui peuvent affecter le contrat, lorsque les parties ne sont pas sur un pied d'égalité ».

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